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Théorie et pratique pour un duo gagnant ! Fidèles, année après année sont tenus au printemps le Sommet du numérique en éducation et le Colloque international en éducation - CRIFPE. Cette année ce sont les 4 et 5 mai que ces deux évènements majeurs en éducation se sont déroulés en concomitance à l’Hôtel Bonaventure de Montréal. Un lien entre ces manifestations est le très intéressant Salon des exposants, lieu de rencontre de tous les participants au moment des pauses.

Tel un souk, on y trouve de tout. Marchands et organismes offrent aux visiteurs nouveautés et innovations : écrans interactifs, ordinateurs recyclés, environnements collaboratifs d’apprentissage, logiciels pour apprendre le français, les maths, éducation juridique, apprendre à écrire comme un journaliste, école en réseau, Cadre21 et École branchée. Tous promettent un succès scolaire assuré … ce dont discute aussi éducateurs et universitaires lors des multiples ateliers et symposiums offerts.

L’an dernier j’avais pris part à plusieurs conférences proposées au Sommet. Vous pouvez consulter le compte-rendu Merveilles sur Éducavox :

https://www.educavox.fr/innovation/technologie/merveilles. Cette année, j’ai centré mon attention sur le Colloque.

Lyonel Kaufmann

Lyonel est professeur associé en Didactique de l’histoire à la Haute École Pédagogique (HEP) de Vaud (Lausanne, Suisse). Lyonel est aussi quécophile. Il a passé de longs mois au Québec l’automne dernier dans le cadre de son Congé scientifique pour mener une recherche sur la communauté des dicdacticiens(nes) d’histoire au Québec et en francophonie… et c’est la quatrième fois qu’il est présent au Colloque international en éducation.

Diverses raisons le ramènent régulièrement à Montréal au printemps. Il constate la richesse de de ce type d’événement qui comme le souligne le thème de cette année, réunit théorie au Colloque et pratique au Sommet. Lors d’un tel évènement on peut donc faire une mise-à-jour des récents développements tant dans l’application que dans la recherche en éducation au et par le numérique.

Sa première visite date de 2018 où il menait une délégation du Canton de Vaud pour le développement d’un nouveau plan du numérique en éducation. Ces conférences conjointes offrent un panorama de la question des solutions numériques de l’enseignement dans un espace et un temps restreints et favorisent le réseautage entre les intéressés par ces questions.

En 2019, il présente une communication au sujet d’une recherche sur la question de la pensée computationnelle.

En 2021, les rencontres ont eu lieu à distance à cause de la pandémie. Il présente un retour de pratique en tant que formateur, particulièrement le récit de pratiques de travail avec les étudiants.

En 2023, il participe au Symposium - Enseigner l'histoire : fondements et pratiques d'enseignement, des manuels aux jeux vidéo où il présente : Que dit la recherche des différentes utilisations d’un jeu vidéo en classe d’histoire pour le développement de la pensée historique des élèves ? Et voici le détail de sa présentation :

Dans le prolongement de notre préface à l’ouvrage d’Ethier et Lefrançois, 2023 ( à paraître), nous reprendrons nos observations relativement aux différents modes ou modalités du recours par les enseignant•es en classe d’histoire (Kaufmann, 2019) pour les confronter aux résultats issus de la recherche didactique. A la suite de Denning (2021), il convient d’explorer la façon dont la gamification du passé influence la compréhension par le public – et donc nos élèves – de la façon dont l’histoire se produit.

Il s’agit notamment de s’interroger sur la capacité au travers le recours à des jeux vidéos historiques ou à caractère historique, ainsi que d’autres médiums culturels comme le film ou les séries télévisées, à développer la pensée historique des élèves en classe et en dehors de celle-ci. Nous identifierons des angles morts des recherches actuelles qui mériteraient des programmes de recherche spécifiques.

Ce résumé du «vécu» du professeur Kaufmann est un exemple des rapprochements professionnels entre universitaires de la francophonie au Sommet du numérique et Colloque international en éducation.

Symposium - La pensée éducative et les intellectuels au Québec : les intellectuels nés avant 1875

Cette année, je me suis fait plaisir. Je me suis laissée attirer par ce symposium dont le sujet me rappelait une partie de mon enfance.

Au Québec, l’éducation a longtemps été sous le patronage de l’Église catholique.  Les bonnes religieuses qui enseignaient dans les écoles primaire des paroisses informaient leurs supérieures d’enfants particulièrement talentueux.  Les communautés offraient alors à ces enfants de fermiers la possibilité de poursuivre des études supérieures et souvent devenir prêtres à leur tour et assurer la relève.  La soeur de mon grand-père avait épousé un fermier dont les frères avaient ainsi poursuivi des études et devenir enseignants à leur tour, l’un musicien et l’autre scientifique. Si j’ai entendu tous les samedis après-midi  En direct du Metropolitan Opera (Met) de New York diffusé par Radio Canada, c’est parce que l’abbé Léon  [i] se procurait les planches colorées pour illustrer son enseignement. J’avais appris à aimer ces héros des temps anciens tout aussi technophiles que l’actuel usager du robot et de ChatGPT.  Ces lointains grands oncles par alliance étaient des éducateurs.  Ils ne remettaient pas en cause le système d’où il étaient issus.  Qu’en est-il par contre des intellectuels principalement montréalais qui eux aussi parcouraient le monde à la recherche d’idées nouvelles sur l’éducation ? 

Le texte ci-dessous provient des textes de la présentation du symposium. Leur synthèse est de moi.

Présentation du symposium

Olivier Lemieux, Université du Québec à Rimouski, professeur en administration et politiques de l’éducation, il se spécialise autour des questions interpellant l'interface éducation et politique, de même que celles entourant l'histoire de l'éducation au Québec.

Denis Simard, Université Laval - CRIFPE, professeur titulaire à la Faculté des sciences de l’éducation et chercheur régulier au Centre de recherche interuniversitaire sur la formation et la profession enseignante. Ses intérêts de recherche portent sur les théories éducatives, la pédagogie et son histoire, l’approche culturelle de l’enseignement et l’herméneutique en éducation.

Jean-Francois Cardin, Université Laval, professeur titulaire à la retraite de la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université Laval où il enseignait la didactique de l’histoire et des sciences humaines.

Les recherches sur les intellectuels au Québec ont donné lieu à de nombreuses publications ces vingt dernières années… Pour intéressantes qu’elles soient, elles laissent pourtant dans l’ombre une question essentielle pour toute société, la question éducative. L’historiographie québécoise de l’éducation montre en effet qu’il y a très peu d’études dédiées à la pensée éducative au Québec, et donc à une histoire intellectuelle de l’éducation. Par pensée éducative, nous entendons les conceptions de l’éducation, leurs finalités et leurs valeurs, les modèles humains qu’elles souhaitent former, les justifications qui les fondent.

C’est à combler en partie cette lacune que ce symposium est consacré. Il se propose d’examiner la pensée éducative de quelques figures intellectuelles marquantes du Québec nées avant 1875. Quel sens ont-elles donné à l’éducation? Quelle place occupait-elle dans l’économie de leur pensée? Sur quelles conceptions du savoir et de l’homme reposait-elle? Quelles visées éducatives poursuivaient-elles? Ce sont là quelques-unes des questions de ce symposium.

Jean-Baptiste Meilleur (1796-1878)

Jean-Francois Cardin, Université Laval, professeur titulaire à la retraite de la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université Laval où il enseignait la didactique de l’histoire et des sciences humaines.

Laurie Pageau, Université Laval, candidate au doctorat à l'Université Laval (Québec) sous la supervision des professeurs Jean- François Cardin (U.Laval) et Catherine Duquette (UQAC).

Cette présentation trace le portrait des aspects essentiels de la pensée éducative de Jean-Baptiste Meilleur (1796-1878), premier surintendant de l'instruction publique au Canada-Est, de 1842 à 1855. Éducateur dans l'âme, bien qu'il fut médecin de formation, Jean-Baptiste Meilleur a littéralement consacré sa vie à la tâche de relever la condition socio-économique et culturelle des Canadiens français. Quelles influences ont concouru à former son intérêt, puis sa passion, pour « la cause », celle de l'éducation et, plus spécifiquement, celle de la mise en place d'un système scolaire public viable et efficace dans le Québec du milieu du XIXe siècle. Sa pensée éducative fut marquée notamment par l'adversité et un contexte social et politique marqué par une âpre résistance à son projet éducatif.

Étienne Parent : penseur d’un système scolaire moderne

Mélanie Bédard, Chercheuse autonome, docteure en sociologie. Elle a enseigné la sociologie de l’éducation, l’histoire de la pensée sociologique québécoise et la pratique de la recherche sociologique.

Étienne Parent rédigea et publia de nombreux articles sur l’éducation dans le journal Le Canadien [ii] 

Ses commentaires accompagnaient les versions successives de la Loi des écoles de syndics adoptée en 1829 jusqu’au rejet du projet de 1836 qui avait pour but de la renouveler. Parent y faisait la promotion d’initiatives locales et il diffusait des modèles étrangers. Plus tard il prononça des discours devant des publics diversifiés en parallèle de sa carrière de haut-fonctionnaire. Dans l’ensemble de ses productions, il développa une pensée sur un système scolaire moderne qui permettrait aux Canadiens français, selon son projet de société, de s’émanciper au sein de la société politique et dans leur participation à la civilisation.

Son nationalisme, son libéralisme et son réformisme étaient indissociables des idées modernes sur l’éducation. Une analyse thématique montre comment Parent projette la mission de l'éducation pour le devenir politique, économique et culturel du Canada français. Les principaux thèmes discutés sont le partage des responsabilités organisationnelles de l’éducation, la diversification des formations et leur hiérarchie et, enfin, le rapport pédagogique entre le maître et l'élève ainsi que les qualités à valoriser chez la future élite.

François-Xavier Garneau. Une vision mutualiste et démocratique de l'éducation

Micheline Cambron, Université de Montréal, professeure émérite du Département des littératures de langue française de l'Université de Montréal, cherche à comprendre les relations entre littérature et société, ce qui leur confère une dimension interdisciplinaire et parfois essayistique.

François-Xavier Garneau est l'un des intellectuels québécois les plus importants du XIXe siècle. Membre du Conseil de l'instruction publique, Il était reconnu en son temps pour s'intéresser à l'éducation. Garneau déploie en effet dans ses discours et ses actions une conception du savoir, et de l'éducation, qui tranche sur les pratiques dominantes de son époque, insistant, par exemple, sur la liberté de juger. Sa formation dans une école d'enseignement mutuel, auprès de Joseph-François Perrault, ardent défenseur de l'instruction gratuite et laïque et infatigable auteur de manuels. 

Il a une conception sous-estimée du savoir, lisible dans les journaux à bas prix : L'Abeille canadienne  [iii] . Quelles sont  les conceptions de l'éducation que Garneau met en œuvre dans son Histoire du Canada [iv]et « Jean Rivard, l’économiste » ne sont pas des romans. Sa pensée éducative nous y apparaît à l’œuvre dans la relation des paroles et des actes de ses personnages, dans la représentation d’un perfectionnement humain vraisemblable en regard d’une connaissance empirique de la vie réelle des Canadiens français, puis dans la diffusion des Jean Rivard. Ses récits représentent une manière de réforme de l’éducation et de la société radicalement démocratique pour l’époque.

Celle-ci apporte d’abord une réponse immédiate aux préoccupations de subsistance des jeunes Canadiens français dans laquelle ils peuvent engager entièrement leur travail physique et intellectuel. La réforme s’y amorce par une éducation des adultes dans le travail de défricheur, puis dans la constitution d’une localité, et ensuite seulement dans le projet de se doter d’une nouvelle forme d’établissement scolaire devant compléter l’éducation nouvelle des adultes et des enfants qui se prodigue déjà dans les familles et la paroisse. Jean Rivard y incarne et y sert l’alliance de forces que ses compatriotes savent déployer en agriculture, en éducation, dans l’industrie et dans le commerce, pour un nouveau travail d’élévation personnelle, familiale, communautaire, civique et religieuse proposé aux lecteurs.

La pensée éducative de Joséphine Marchand Dandurand

Michèle Stanton-Jean, Université de Montréal, Chercheure invitée au Centre de recherche en droit public de l'Université de Montréal. Elle est l'une des auteures du Collectif Clio sur l'Histoire des femmes au Québec depuis quatre siècle (1982 et 1992).

Joséphine Marchand-Dandurand (1864-1925) ne fut jamais enseignante au sens formel du métier, mais ses principales réalisations furent connectées à l'éducation largement définie. Pionnière du journalisme féminin au Québec, dramaturge et féministe de la première heure, elle fut au coeur d’entreprises culturelles et éducatives destinées principalement aux femmes.

Pour Joséphine Marchand-Dandurand, l’amélioration du statut des femmes passait par leur accès à la lecture, aux arts et à l'éducation supérieure. Retracer le cheminement de sa pensée éducative exige le dépouillement de son journal intime, du mensuel Le Coin du Feu [vii] qu’elle a fondé, de son oeuvre des livres gratuits, de ses nombreux articles et de ses conférences et de sa correspondance avec son mari, Raoul Dandurand. Il faut aussi analyser son engagement au sein du Conseil national des femmes du Canada [viii] et de la Fédération nationale Saint-Jean-Baptiste [ix], qui réunit ses monographies de familles d’habitants et témoigne de son expérience de la vie agricole dans les Cantons-de-l’Est, comme étant aussi celui où Gérin achève son idéation de l’éducation canadienne-française. Représentant que cette éducation évolue dans un long processus d’émancipation depuis la colonisation en Nouvelle-France, l’ouvrage fait cheminer le lecteur jusqu’à l’horizon d’une liberté nouvelle.

Le dernier chapitre montre une voie de sortie de l’alternative entre les difficultés vécues en ville sous le règne de l’individualisme, et le repli traditionnaliste sur une vie agricole routinière et dure : apprendre ensemble à s’organiser pour mieux vivre dans une coopération à l’économie marchande, dans des rapports égalitaires avec des concitoyens anglais, et dans la formation d’un milieu moins xénophobe et plus éclairé.

Edmond de Nevers : pour une aristocratie de l’esprit

Jean-Philippe Warren, Université Concordia, Professeur au Département de sociologie et d'anthropologie de l'U Concordia.

La présente communication revient sur la conception de l'éducation d'Edmond de Nevers (1862-1906). L'attention de ce dernier est tout entière tournée vers les hautes études, laissant dans l’ombre la question de l’enseignement dans les écoles de niveau primaire ou les collèges. Il est soucieux de développer au Québec des universités qui fassent non seulement progresser la connaissance, mais contribuent à créer dans chaque agglomération une masse critique de personnes passionnées des choses de l’esprit. Il rêve surtout à un Montréal peuplé par une bohème comme on en voit dans les villes d’Europe, s’adonnant à la science et l’art pour le seul plaisir d’honorer la Vérité et la Beauté. Il renoue ainsi avec la philosophie humaniste des collèges classiques, dessinant le portrait d’un professeur d’université qui ressemble davantage à un « honnête homme » qu’à un spécialiste d’un champ précis de la connaissance.

Dans notre communication, nous tâcherons de montrer que son œuvre cherche à résoudre la quadrature du cercle : le Canada français, croit Nevers, n’aura pas à sacrifier sa vocation spirituelle et agricole en patronnant les arts et la science. Au contraire, le soutien aux hautes études ne fera que consacrer encore davantage à ses yeux la mission civilisatrice du peuple canadien-français en Amérique.

Le père Joseph-Papin Archambault, s.j. : une pensée éducative centrée sur les moyens

Olivier Lemieux, Université du Québec à Rimouski, professeur en administration et politiques de l’éducation à l’Université du Québec à Rimouski. Il se spécialise autour des questions interpellant l'interface éducation et politique, de même que celles entourant l'histoire de l'éducation au Québec

Joseph-Papin Archambault (1880-1966) est une figure emblématique du catholicisme social au Canada français. Infatigable promoteur de la Doctrine sociale de l’Église [xi] 

Archambault voit en l’éducation un outil indispensable pour lutter contre deux grands ennemis de la nation canadienne-française, soit l’athéisme et l’individualisme. Dans le présent chapitre, nous suggérons que la pensée éducative d’Archambault se distingue par l’attention qu’elle porte aux moyens d’éduquer l’élite ou, plutôt, les élites. Pour ce faire, nous mobilisons une typologie de la jeunesse canadienne-française qu’il a développée dans les années 1940. Le corpus au cœur de l’analyse repose principalement sur les déclarations présentées en ouverture des Semaines sociales du Canada, auxquelles nous avons ajouté quelques articles et ouvrages. À l’issue de notre analyse, nous constatons que si Archambault s’est beaucoup intéressé aux jeunesses étudiante, bourgeoise et ouvrière, il a peu déployé de moyens visant la jeunesse agricole.

En ces temps de réflexion quant à la transformation de nos systèmes éducatifs sous l’indéniable influence des technologies numériques il est bon de se rappeler que les systèmes éducatifs actuels ont été élaborés suite aux réflexions de penseurs des siècles passés.

Ninon Louise LePage

[i] Léon Destroismaisons
https://www.thecanadianencyclopedia.ca/fr/article/destroismaisons-leon
https://leplacoteux.com/leon-destroismaisons-pretre/

[ii] Magloire Destroismaisons
http://faculty.marianopolis.edu/c.belanger/quebechistory/encyclopedia/abbeLouis-MagloireDestroismaisons-HistoireduQuebec.htm

[iii] Le Canadien
https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/3453255

[iv] L’Abeille canadienne
https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2656575
https://www.canadiana.ca/view/oocihm.8_06201
https://fr.wikipedia.org/wiki/L'Abeille_canadienne_(1818-1819)

[v] l’Institut canadien de Québec
https://www.institutcanadien.qc.ca/

[vi] Histoire du Canada, F-X Garneau
https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2022752

[vii] Jean Rivard, le défricheur
https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2022460

[viii] Le coin du feu
https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2657698

[ix] Conseil national des femmes du Canada
https://fr.wikipedia.org/wiki/Conseil_national_des_femmes_du_Canada

[x]Fédération nationale Saint-Jean-Baptiste (FNSJB
https://fr.wikipedia.org/wiki/Fédération_nationale_Saint-Jean-Baptiste

[xi] GÉRIN, LÉON, Le Type économique et social des Canadiens. Milieux agricoles de traditions françaises. Montréal, les Éditions Fides. 1948. 2e édition, 223 pages
https://www.erudit.org/fr/revues/haf/1949-v3-n1-haf3163/801533ar/

[xii] Doctrine sociale de l’Église
https://fr.wikipedia.org/wiki/Doctrine_sociale_de_l'Église_catholique

 

Dernière modification le mercredi, 17 mai 2023
Ninon Louise LePage

Sortie d'une retraite hâtive poussée par mon intérêt pour les défis posés par l'adaptation de l'école aux nouvelles réalités sociales imposées par la présence accrue du numérique. Correspondante locale d'Educavox pour le Canada francophone.