Le numérique a d’ores et déjà tellement envahi notre monde qu’il est illusoire de l’en extraire pour lui appliquer un traitement spécifique. Et pourtant la tentation est grande en cette période pré-électorale (ou déjà électorale) de formuler des « propositions pour le numérique » et certains candidats se sont pliés à l’exercice. Mais est-ce bien judicieux ?

Un joli film français sort le 25 janvier : Notre Révolution Intérieure.

Réalisé par Alex FERRINI, ce film documentaire est une invitation à voir, écouter... réfléchir, et pourquoi pas agir ?

On se lasse d’entendre encore et encore que l’école va mal…qu’il faut changer les programmes …ou pas. Penser l’école à l’ère du numérique…Ou pas. Modifier la grammaire,  l’orthographe, la dictée, les devoirs à la maison…ou pas. Repenser les rythmes scolaires...ou pas. Augmenter le nombre de professeurs…Ou pas. donner de l'autonomie aux établissements...ou pas.

Mardi 11 janvier. Conférence de presse de Patrick Braouezec, président de Plaine Commune[1], Bernard Stiegler, directeur de l'Institut de Recherche et d'Innovation et Alain Bertho, directeur de la Maison des Sciences de l’Homme de Paris Nord.

La lame de fond réactionnaire et xénophobe incite aux recompositions idéologiques et stratégiques, à des prospectives adaptées. Ainsi, l’un des enjeux de la période est de mieux articuler les principes d’égalité socio-scolaire et de diversité culturelle, et de revisiter les programmes en relation.

Par Anne Mai Walder, « Les innovations technologiques sont-elles à l’origine des nouveaux rythmes et temporalités de l’université contemporaine ?  », Distances et médiations des savoirs [En ligne], 16 | 2016, mis en ligne le 15 décembre 2016. URL : http://dms.revues.org/1605

Documentaire réalisé par Judith Grumbach, produit par Ashoka France (80mn)

Tourné dans neuf établissements scolaires - publics et privés, de la maternelle au collège, aux quatre coins de la France - Une Idée Folle pose la question du rôle de l’école au XXIè siècle. 

Publié par Samuel Azoulay sur RSLN Mag

Depuis plusieurs années le concept de disruption est sur toutes les lèvres et prend alternativement une connotation positive ou négative.