La question du droit d’auteur est fondamentale dès lors que l’on se lance dans un MOOC. Ces projets complexes impliquent de nombreux acteurs : le ou les enseignants bien sûr, la structure qui l’emploie, la plate-forme qui héberge le cours, d’éventuels prestataires extérieurs (pour la réalisation des vidéos par exemple) … 

Article initialement publié le 12 février par Ertzscheid Olivier sous licence Creative Commons surAffordance.info

 

C’est toujours une expérience troublante que d’aller assiter à un cours au milieu des étudiants. En l’occurence, vendredi dernier, les étudiants de la licence pro Community Manager avaient la chance d’entendre Lionel Maurel toute la journée pour une intervention sur "droit d’auteur, viralité et culture du remix". Le genre d’intervenant que tu fais venir avec l’impression d’offrir un cadeau aux étudiants et le genre de cours qui se prête particulièrement bien à une résonnance "sociale" (la suite des arguments de ce billet ne vaut pas nécessairement pour les mauvais cours de mauvais intervenants ... quoi que ...). Bref, cours de Lionel Maurel, 15 étudiants, 1 prof sur scène (lionel), 1 prof dans la salle (moi), et ... une grosse dizaine d’ordinateurs ouverts et connectés.

Posté par Posté par la Délégation aux usages de l’Internet le Jeudi 31 janvier 2013 sur NetPublic.fr

par Bernard Benhamou, Délégué aux usages de l’Internet 

Sur le site MySciencework, Abby Tabor publie un interview réalisé ave Bernard Ren tier, Recteur de l’Université de Liège et Président de Enabling Open Scholarship (EOS). Il explique les facteurs qui ont contribué au succès de ORBi, le dépôt en Open Access de son université. « Le chercheur n’a aucun intérêt à limiter ses lecteurs à ceux qui peuvent payer les éditeurs. »