Pour son premier Carnaval Numérique, il s’agissait pour l’An@é, carn@val oblige, de bouger les lignes, d’évoquer quelques perspectives transgressives pour l’éducation.

Les dernières années se sont passées à décrier,  expliquer, encenser, rejeter, essayer, s’interroger, polémiquer…Pour ou contre le numérique en classe ? Informatique et numérique, le danger des écrans, la perte des savoirs, de la mémoire, le " zap " intellectuel,  le danger pour la démocratie…Et puis pour ou contre les tablettes,  les Tableaux Interactifs, les jeux sérieux, les robots…Ce numérique là est mort.

Les « innovateurs » de notre pays sont des acteurs actifs du changement parce qu’ils expriment explicitement leur points de vue, qu’ils proposent des solutions, qu’ils expérimentent des situations nouvelles et innovantes, qu’ils apprennent via les réseaux, les actions communes, les collaborations, les créations de ressources ancrées dans les pratiques.

Cette conférence d'Andrè TRICOT* s’est tenue le 9 mars 2017 lors du séminaire académique « Apprendre à l’ère du numérique », au Salon Eduspot, Palais des Congrès - Porte Maillot - Paris.

Nous sommes entrés depuis quelques mois dans la préparation d’élections présidentielles puis législatives qui vont conditionner tout notre environnement social,  économique et politique pour les cinq années à venir.

La première édition du Grand Barouf numérique, les 9 et 10 mars à Lille a été organisée par la Métropole Européenne de Lille (MEL), en phase avec OuiShare et P.O.P. et avait comme objectif d’analyser la transition numérique qui impacte les territoires en suscitant inquiétudes et espoirs en offrant un lieu de rencontres improbables pour tous les acteurs qui feront le territoire de demain.

Par Dominique Pialot sur LaTribune.fr :  Des plus en plus impliquées dans la collecte et le traitement des données, les collectivités y trouvent un regain de pouvoir. Mais elles font aussi face à de nouveaux enjeux encore mal connus.

Le numérique est aujourd’hui partout, et nul n’imagine une société sans nouvelles technologies. Mais si ce phénomène ne peut être ignoré par la communauté éducative, il pose un ensemble de « questions vives »