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"Une approche disruptive des sciences ; là où les mathématiques et la philosophie se rejoignent, conscience, connaissance et langage ne forment plus qu’une seule et unique entité". Ce travail de recherche se veut avant tout mettre en exergue les relations apocryphes entre différents langages à dessein de bâtir une démonstration dans la mouvance phénoménologique d’inspiration husserlienne rattachée à des enjeux jungiens comme le laisse présager le titre de cet ouvrage. 

Un essai de Jean-Charles Tassan réalisé avec la contribution de plusieurs penseurs en philosophie et mathématiques

Au delà des modélisations mathématiques et des analogies philosophiques y afférentes, Mathématiques et Philosophie, Conscience, Connaissance et Langage permettra au lecteur initié ou non, d’appréhender en fonction de ses sensibilités, de ses repères de représentations et d’interprétations tout un pan d’idées fondamentales parfois complexes avec pour principale orientation la quête du Savoir…", dixit l’auteur ancien élève de l’Institut Mines Télécom (Diplômé de l’Executive Master IA de l’Institut Mines-Telecom Business School).

Reconstruction disruptive philosophico - mathématique de la conscience individuelle ou personnelle jungienne à partir de la définition de l’inconscient suivante :

« Est inconscient ainsi défini décrit un état de fait extraordinairement flou : tout ce que je sais, mais à quoi je ne pense pas momentanément ; tout ce dont je fus conscient autrefois mais qui est momentanément oublié ; tout ce qui est perçu par mes sens mais à quoi mon conscient ne fait pas attention ; tout ce que je sens, pense, me rappelle, veux et fais sans dessein et sans attention, c’est à dire inconsciemment ; tout ce qui est futur, qui se prépare en moi et ne viendra que plus tard à la conscience ; tout cela est contenu de l’inconscient. Ces contenus sont tous plus ou moins susceptibles de conscience ou furent du moins conscients autrefois et peuvent le redevenir d’un moment à l’autre »

Problématique : Qu’appelle-t-on conscience collective, conscience individuelle, inconscience collective, inconscience individuelle, prescience de type ascendant et prescience de type descendant ?

En quoi l’externalisation, la conscientisation et la connaissance sont-elles rattachées à des problématiques linguistiques ? Dans quelle mesure ces différents termes entretiennent-ils des relations à différentes échelles de représentation ?

Existe-t-il une solution algébrique d’ensemble permettant de répondre à ces enjeux visant une « conscience de l’inconscient » et indirectement ce que l’on désigne par la « boîte noire » de l’Intelligence Artificielle ?

 

 

Dernière modification le lundi, 15 mai 2023
An@é

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