Seize sessions de 60 minutes pour aborder un métier, une formation, un secteur d’activité liés aux sciences, aux techniques et au numérique. Le tout au travers de témoignages, souvent de femmes pour inspirer et montrer que ces métiers sont aussi pour les filles.

Cette action, née de la pandémie, rencontre un véritable succès, elle permet de toucher des élèves de toute la France. Pour l’instant, il y plus de 6000 inscriptions cumulées aux sessions, soit plus 1700 élèves uniques.

J’ai été interpelé ce matin par l’article de S. Downes (@oldaily) « facillitators » or « guides on the side » ? No thanks où il aborde la question de la posture de l’enseignant. Ainsi, il déclare ne pas chercher à faciliter ou guider dans les apprentissages mais plutôt à s’engager activement avec son auditoire pour travailler sur le sujet. Ce point de vue me semble louable mais m’interpelle…

Ce dossier thématique présente différentes ressources permettant d’interroger l’évaluation dans un contexte dans lequel le numérique est mobilisé

Feamzy communique : Le dernier protocole sanitaire a mis le feu aux poudres. Après avoir subi les files d'attente interminables devant les pharmacies pour se procurer des tests, la journée de grève des enseignants, les classes fermées, la recherche de solutions pour faire garder leurs enfants... les parents redoutent désormais un énième changement qui va encore venir tout bouleverser à la dernière minute.

Il s'agit d'un groupe d’enseignant.e.s intéressé.e.s par la ludification, les pédagogies actives et la coopération. Essaimer, développer et accompagner par la formation les pratiques de ludification et les pédagogies actives qui favorisent la motivation et la réussite des apprenants, afin de lutter contre le décrochage scolaire et les inégalités, contribuer aux recherches scientifiques afin de lutter contre le décrochage scolaire et les inégalités, agir en faveur de l’enfance en difficulté par la mise en place d’actions caritatives à but non lucratif : Voici leur ambition.

La culture est un long processus, une adaptation progressive à des contextes, une appropriation qui s’opère notamment dans les familles, avec l’école, avec les pairs, avec pour les jeunes, une tendance à l’autonomisation par rapport aux pratiques d’adultes. Il en est de même pour la culture numérique à la différence que les pratiques sont présentes dans tous les actes de la vie courante et que les impacts sont beaucoup plus rapides. (Vidéo : Hervé Le Crosnier : https://www.educavox.fr/accueil/breves/restitution-de-la-rencontre-culture-numerique-education-aux-medias-et-a-l-information-bnf)

Par Anne Veghte-Quatravaux, IAN Lettres de l’Académie de Montpellier et Sabrina Caliaros, DRANE de la Région académique Occitanie : Avec l’évolution des métiers et du monde professionnel, la nécessité de la maitrise du numérique est un enjeu qui est devenu encore plus criant depuis la crise sanitaire.

Pour développer des pédagogies plus actives, maitriser le numérique est indispensable comme le révèle le dernier rapport de la DEPP « Le numérique éducatif : que nous apprennent les données de la DEPP à l’école ? »[1].

Salon Educatec-Educatice. Conférence plénière du jeudi 25 novembre 2021. Depuis le premier avatar du plan numérique pour l’école en 2014, les politiques publiques nationales et locales ont fait de l’équipement des lieux éducatifs un des leviers majeurs en faveur du développement de l’éducation au et par le numérique. Malgré l’importance des engagements financiers comme de la volonté des acteurs politiques, éducatifs et techniques locaux de faire vivre ces dynamiques, leur effet est resté jusqu’à aujourd’hui contesté. Ainsi, le dernier rapport de la cour des comptes sur le sujet (publié en juillet 2019) titrait-il sévèrement : « Le service public numérique pour l’éducation : un concept sans stratégie, un déploiement inachevé ».